Dis-moi, quand me feras-tu la joie disparaître de la surface de la Terre? [Libre]

Finalement, Alexy fut plus que soulager qu’Alan ne soit pas partie après le "massacre". Sinon, il n’aurait rien put faire pour son frère. Il répondis au roux par un simple geste. Il prit son frère par le dessous de bras et commença à le soulever lentement en passant son bras par dessus son cou. Il est vrai que le cadet n’avait pratiquement aucune force. De plus, il ne souhaiter pas faire souffrir d’avantage son frère. Il avait donc deux bonne raison pour ne pas faire de geste brusque.

Alex quand à lui se laissa faire sans broncher. C’était son frère, donc il n’avait aucune de se plaindre. Mais malheureusement pour lui, il devait se préparer mentalement à se faire aider par l’autre enfoiré qui l’avait mie dans ce sale état. Tout ça à cause de l’autre garce !

Alan observa Alexy et Axel. Si Alexy semblait rassuré, Axel avait l'air d'enrager. Pourtant, il devait se douter que là, tout seul, Alexy n'irait pas bien loin.
Il regarda Axel un moment, n'appréciant pas spécialement son regard, mais n'en fit rien paraître. Il prit Axel des bras d'Alexy sans prévenir, assez pressé d'en finir. Il se préparait à recevoir des coups au torse, mais si il lâchait Axel ce serait plus douloureux pour lui qu'autre chose. A lui de ne pas être bête.
Il resta désinvolte et distant.

-Elle est où ta chambre?

Il s'adressait à Alexy, sachant qu'il ne décocherait pas un mot à son frère.

Alexy regarda Alan prendre son frère avec surprise. Quand à son frère, il se retenu de le frapper ou de lui cracher dessus. Mais ne n’était pas le moment de faire un esclandre. Vraiment pas. Le roux prit donc sur lui et ne fit rien. Et par dessue tout, ne dit rien.

- Suis-moi.Dit-il en se relevant. Elle n’est pas loin.

Il prit le chemin qui mener au dortoir des garçons. Marchant d’un pas assuré et quelque peu rapide. Lors de sa marche, il remarqua la disparition d’Alison. Sans doute était elle partie agaçait par cette situation. Il aurait voulu demander à Alison se qui c’était passer. Mais au final, il n’était pas sur de réellement le savoir. Une chose était sur pourtant. Alexy devrait aller voir Alison le plus tôt possible. Se ne seras pas se soir en tout cas. Peut-être pas non plus dans les jours à venir. Mais un jour, il lui demandera se qu’il sait passer. Il n’abordera surement pas ce sujet avec Alan. Il ne sait déjà pas comment vont évoluer les choses entre eux deux. Il y à t-il des chances pour qu’il devienne encore amie ? Il le verra bien à leur prochaine rencontre.

Le cadet jeta un bref coup d’œil vers Alan et son jumeaux qui tirer une grimasse affreuse. Et cella ne sembler pas être dut qu’à cause de la douleur vue l'état de crispation dans lequel il était. Heureusement pour lui, ils étaient enfin arrivés à destinations.

- C’est ici… murmura t’il en ouvrant la porte.

Le jeune homme au cheveu bleu se précipita dans la pièce. Retirant sur son lit la guitare de son frère et son livre qu’il avait bien entamé avant sa sortie imprévue.

- Pose le la s’il te plait.

Sans prendre la peine de regardait les deux roux, il se dirigea vers son armoire et il sortie un gros boite médical. Avoir Axel comme frère, il faut être parait à tout.

Alan se contenta de suivre Alexy, sans rien dire, sans sourciller ou montrer quelconque émotion sur son visage. Il n'accordait aucun regard à Axel, qui lui grimaçait de dégoût. En même temps c'était compréhensible. Alexy finit par entrer dans sa chambre en désignant son lit qu'il débarrassa, sur lequel Alan allongea Axel en délicatesse. Il n'avait pas envie d'en rajouter. Pas par peur, mais par lassitude, et surtout parce que c'était inutile. Il se redressa, alors qu'Alexy préparait déjà son armada pour soigner Axel. Visiblement, comme l'avait pensé Alan, Axel avait l'habitude de créer des bagarres.
Il tourna légèrement la tête vers Alexy, sachant qu'il était temps pour lui de prendre congé.

-Voilà.

Il avança vers la porte, sans accorder un regard à aucun des jumeaux.

-Sans doute à plus tard.

Il le disait pour Axel et pour Alexy, mais d'une manière différente. Peut-être pour Alexy, si le coeur lui en disait, de se refaire une virée sympa, après tout il n'avait rien contre lui, et pour Axel, qu'il n'hésiterait pas à se battre de nouveau contre lui si il s'en prenait de nouveau à Alison, quitte à perdre. Et puis ptet pourquoi pas, un jour parler normalement. C'était à Axel de l'interpréter comme il le voulait, même si il pensait déjà devoir se battre contre le roux une nouvelle fois.

Une dernière souffrance pour la route? Et bien non. Alors que le roux pensait être jeté comme un vulgaire déchet sur le lit, celui-ci fut poser subtilement sur celui-ci. L’étonnement et l’incompréhension pouvait se lire sur son visage pendant d’une fraction de seconde. Suite à sa, ce fut à nouveaux de la haine et de la colère qui emplissait son regard. A quoi jouer ce type? Qu’es qu’il espérait ou voulait obtenir à la fin? Alan était tout sauf logique. Rien de tout ça n’était logique!

-Sans doute à plus tard.

Il serra des poings et détourna la tête vers le mur quand Alan prononça sa phrase. Il avait comme l’impression qu’elle lui était aussi destinée. Il devait prendre ça comme une seconde chance? Comme s’il en avait besoin d’une… Alexy, quand à lui, regarda Alan sortir sans prononcer le moindre mot. Il aurait voulu le remercier et dire qu’il était désolé. Mais il n’en fit rien. Et puis, désoler de quoi après tout ? Il n’était au courant de rien et n’avait pas vue la scène. Surement voulait-il alors s’excuser pour son frère. Mais ce n’était pas à lui de le faire. Même s’il savait qu’Axel ne le ferait sans doute jamais…

Une fois qu’ils se retrouvaient enfin seul tout les deux, le cadet s’approcha de son frère pour s’occuper de sa blessure. Il avait l’habitude de soigner de frère. Déjà petit il revenait à la maison couvert d’écorchure. Chose qui angoisser leur mère. Alors à force, plus rien ne l’effrayer ou le perturber. Sans complexe et sans gêne, il essuya sa chair visible de tout le sang qui c'était libérer de sa veine. Axel se laissa faire sans broncher. Laissant son frère nettoyer sa plaie et l’enrouler dans du tissue blanc. Pas un mot n'était échanger entre les jumeaux. Pas même un regard. Le délinquant garda les yeux rivés sur le mur. Se contentant de maudire se monde. Maudissant cette soirée. Maudissant Alan. Et se maudissant.

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